Récit d’une journée merveilleuse
Nous arrivons vers 4 heures dans la baie de Colon pour le transit du canal (sans jeux de mots)
Il fait encore nuit, nous embarquons le personnel pour le transit du canal
Le personnel est composé du pilote mais aussi de personnes pour assiter aux manœuvres d’amarage du bateau aux ecluses
Des remorqueurs, un à l’arriére et un autre à babord nous aident à centrer le bateau dans l’axe du canal
Au petit jour, après une très lente approche les premières ecluses apparaissent
Vue coté babord et tribord
Avant nous, un porte container, le flux est permanent.
Derrière nous, une « sorte » de méthanier, il prendra l’autre écluse
Le méthanier fait son approche
L’espace entre l’écluse et le navire est vraiment très faible
Les remorqueurs qui nous ont assistés pour entrer dans l’écluse vont maintenant s’occuper d’un autre navire.
C’est la dernière fois également que nous verrons l’Atlantique et plus précisément la mer des Caraïbes du voyage.
Au revoir l’Atlantique.
C’est la dernière fois également que nous verrons l’Atlantique et plus précisément la mer des Caraïbes du voyage.
Au revoir l’Atlantique.
Les conducteurs des locomotives qui vont guider le navire tout le long de l’écluse, c’est une écluse à trois niveaux
L’écluse est en train de se remplir et nous montons
Détails sur les locos
Le personnel Panaméen est vraiment sympa. Ici, il se repose entre deux manœuvres
Pour actionner les vérins des portes il faut de la puissance
Le navire qui nous suit dans le même passage d’écluse est aussi un bateau de croisiére
Nous sommes maintenant dans le canal proprement dit
Nous sortons du troisième niveau
Le méthanier a été plus rapide que nous dans les manœuvres
De nouveaux deux remorqueurs nous attendent pour nous assister jusqu’à la prochaine série d’écluses
On découvre alors le paysage Panaméen
Les locos utilisent cette plateforme tournante pour faire demi-tour
L’autre bateau de croisière est en train de passer le 3eme niveau
Les locos largues les amarres nous sommes plus sous leur contrôle
Partout dans le canal d’importants travaux d’entretien des berges pour maintenir la hauteur d’eau
Différents barrages comme celui-ci ont permis la mise en eau du canal.
Toujours d’importants travaux de maintenance, il faut dire que le canal est la première ressource économique du pays.
Par exemple, ça coûte environ 400 000 € US (350.000 euros) pour un transit de notre navire de croisière. Pour un pétrolier c’est de l’ordre de 420.000 euros.
Par exemple, ça coûte environ 400 000 € US (350.000 euros) pour un transit de notre navire de croisière. Pour un pétrolier c’est de l’ordre de 420.000 euros.
L’autre bateau de croisiére nous suit
Non, ce n’est pas encore le pont des deux Amériques
A la dernière écluse ce sont des barques qui permettent de récupérer les boots d’amarrage
L’autre bateau de croisière en approche
Un autre barrage
Les locos nous attendent pour la manœuvre
Il fait chaud, plus de 30° on à soif et si aussi l’occasion de trinquer pour le passage du canal
Le pilote vient de nous quitter
Il vient de loin celui là
Le transit des bateaux est une attraction locale
Le fameux pont des Deux Amériques
Panama City apparaît en second plan
Un mouillage en sortie du canal et bonjour l’océan Pacifique
Clichés de Panama city que nous ne visiterons pas
Que de navires à l’horizon
Encore des engins qui dépassent l’imagination
Une bizarrerie en sortie de canal
Le littoral comporte de nombreux ilots où il doit être agréable d’y naviguer
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