samedi 2 février 2013

25 Janvier 2013 jour 19. Canal de Panama

Récit d’une journée merveilleuse

Nous arrivons vers 4 heures dans la baie de Colon pour le transit du canal (sans jeux de mots)
Il fait encore nuit, nous embarquons le personnel pour le transit du canal

Le personnel est composé du pilote mais aussi de personnes pour assiter aux manœuvres d’amarage du bateau aux ecluses

Des remorqueurs, un à l’arriére et un autre à babord nous aident à centrer le bateau dans l’axe du canal

Au petit jour, après une très lente approche les premières ecluses apparaissent
Vue coté babord et tribord

Avant nous, un porte container, le flux est permanent.

Derrière nous, une « sorte » de méthanier, il prendra l’autre écluse

Le méthanier fait son approche

L’espace entre l’écluse et le navire est vraiment très faible

Les remorqueurs qui nous ont assistés pour entrer dans l’écluse vont maintenant s’occuper d’un autre navire.
C’est la dernière fois également que nous verrons l’Atlantique et plus précisément la mer des Caraïbes du voyage.
Au revoir l’Atlantique.

Les conducteurs des locomotives qui vont guider le navire tout le long de l’écluse, c’est une écluse à trois niveaux

L’écluse est en train de se remplir et nous montons

Détails sur les locos

Le personnel Panaméen est vraiment sympa. Ici, il se repose entre deux manœuvres

Pour actionner les vérins des portes il faut de la puissance

Le navire qui nous suit dans le même passage d’écluse est aussi un bateau de croisiére

Nous sommes maintenant dans le canal proprement dit

Nous sortons du troisième niveau

Le méthanier a été plus rapide que nous dans les manœuvres

De nouveaux deux remorqueurs nous attendent pour nous assister jusqu’à la prochaine série d’écluses

On découvre alors le paysage Panaméen

Les locos utilisent cette plateforme tournante pour faire demi-tour

L’autre bateau de croisière est en train de passer le 3eme niveau

Les locos largues les amarres nous sommes plus sous leur contrôle

Partout dans le canal d’importants travaux d’entretien des berges pour maintenir la hauteur d’eau

Différents barrages comme celui-ci ont permis la mise en eau du canal.

Toujours d’importants travaux de maintenance, il faut dire que le canal est la première ressource économique du pays.
Par exemple, ça coûte environ 400 000 € US (350.000 euros) pour un transit de notre navire de croisière. Pour un pétrolier c’est de l’ordre de 420.000 euros.

L’autre bateau de croisiére nous suit

Non, ce n’est pas encore le pont des deux Amériques

A la dernière écluse ce sont des barques qui permettent de récupérer les boots d’amarrage

L’autre bateau de croisière en approche

Un autre barrage

Les locos nous attendent pour la manœuvre

Il fait chaud, plus de 30° on à soif et si aussi l’occasion de trinquer pour le passage du canal

Le pilote vient de nous quitter

Il vient de loin celui là

Le transit des bateaux est une attraction locale

Le fameux pont des Deux Amériques

Panama City apparaît en second plan

Un mouillage en sortie du canal et bonjour l’océan Pacifique

Clichés de Panama city que nous ne visiterons pas

Que de navires à l’horizon

Encore des engins qui dépassent l’imagination

Une bizarrerie en sortie de canal

Le littoral comporte de nombreux ilots où il doit être agréable d’y naviguer















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