« La vie à bord »
A St Georges, l’équipage en profite pour passer un coup de
blanc
Visite
de la fabrique de noix de muscade du 19 janvier à Grenade
Pour
commencer, voici l’arbre qui produit des noix de muscade.
En
moyenne, un arbre produit 3000 noix par an en deux saisons.
Elles
sont récoltées à la main, pas de machines.
trois
couches avant la noix :
une enveloppe utilisée comme combustible une fois séchée
la mace pour faire des colorants et des gelées
La
récolte brute arrive par sacs de 50Kg
La
coque de la noix, une fois broyée exploitée pour étanché des zones humides
La
mace est séparée des coquilles
Les
coquilles qui contiennent les fameuses noix de muscade
Les
noix dénudées de leur envleoppe et de la mace
(toujour à la main) sont en mises à séchées dans de vastes piéces
ventilées
Pour accélérer le séchage les noix sont mélangées
Les noix
sont considérées comme sèches quand elles ne sont plus solidaires de leur
coquilles.
A cet
état, la noix dans sa coquille peut-être conservée de 10 à 25 ans.
La
broyeuse, cette fois-ci une machine sépare les coquilles des noix de muscades
précédements séchées. Le tri entre les noix et les copeaux de coquilles broyés
est effectué à la main. Quel boulot !
Ensuite,
les noix sont placées dans des grandes bassines. Les noix qui coulent sont
chargées en huile et sont réservées à l’industrie pharmaceutique, celles qui
restent en surface sont allouées à l’alimentation.
Noix de muscade, produit fini, reste à les rapper quand
même.
La
production de la journée
Les
plaques de villes dans le monde pour l’export.
J’ai
pas trouvé Parmain !
Quelques
restes de photos de Grenade
Dommage, il y en a un peu trop le long de la route, ça
fait moche parfois.
Sur
les deux iles que nous avons visité, difficile d’avoir des horloges à l’heure.
Ici le temps ne semble pas compter.
Costaud
les
Les mêmes méthodes qu'à Erquy?, pour trancher le poisson, une hachette et un gourdin en bois sont utilisés
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